1er Cour de français ! Pour les 6eme B !

La rentrée... Cette année, je suis professeur principal de la 5eme B. Mais en 1er cours, j'ai les 6eme B... Ils ne sont que trois... Ou devrai-je dire, elles. J'ouvrir la porte, et les regardai. Elles n'avaient pas l'air de vouloir faire de vagues... Tant mieux ! Je leur dis :
"Bonjour ! Je suis Septimus, le 7eme et dernier fils. Vous n'avait pas intérêt à me chercher des noises, sinon, les heures de colle pleuvront. En français, nous ferons des poésies et des dictées. Nous travaillerons uniquement cela. Des questions ? dis-je  d'un air terrifiant avant de reprendre : Voici vos places ! (je regardais sur la feuille, les prénoms) Zeven et Ichi, a côté, le bureau le plus près de la porte, quand a (je regardais à nouveau)  Quintira, le bureau en face."

En finissant de me laver les dents, une pensée me traversa l'esprit : quelle heure est-il ? Je ne devais pas être en retard pour mon premier cours de l'année !
Je me précipitai sur ma montre et vit qu'il était 7 heures 56. Il me restait 4 mm pour regagner le cours de Monsieur Septimus...
Alors il fallait que j'emploie les grands moyens... et hop j'attrapai mon sac à dos et je me laissai couler dans le sol de ma chambre. Je le transperçai sans peine. Facile j'étais un fantôme et en plus j'étais toute aplatie, comme une feuille. Il faut dire que mon décès était du à un énorme rocher qui me tomba dessus !
J’atterris donc au rez de chaussé presque devant la salle de Français. Il était temps, la porte venait de s'ouvrir et mes deux camarades Zeven et Ichi allaient entrer. Je les suivie donc.
Ah ! voilà à quoi ressemblait Septimus... Sa voix me sortie de mes rêveries "Bonjour ! Je suis Septimus, le 7eme et dernier fils. Vous n'avait pas intérêt à me chercher des noises, sinon, les heures de colle pleuvront. En français, nous ferons des poésies et des dictées. Nous travaillerons uniquement cela. Des questions ?
Il désigna nos places et je m'y installai sans rien dire. Il n'avait pas l'air d'être commode. Zeven et Ichi me firent une petit sourire entendu...

Les élèves ne sembler pas très bavarde. Tant mieux. Je pense qu'elle on comprit mon message. Je reprit la parole d'une voix forte et assurer : « Bien, maintenant que vous êtes en place, je vais commencer mon cour ! Ouvrez vos livres page 1*»
Elles se baisèrent toute pour prendre  leur manuel. Le cour de ''français'' et plutôt un cour de poésie et de dictée. Par ailleurs, je leurs donnerez des renseignement sur mon monde. Ou plus précisément, le notre , des a présent.  Je me tourna vers le tableau et écrivis en gros :  Le collier . Le tire de la 1er poésie. Je me tourna vers eux.
« Bien, tout d'abord, nous allons expliquer le texte ! Ichi, tu peut faire la première phrase ?»
Se n'étais pas tellement une question. Plutôt une obligation. J'attendis sa réponse.

[HRp: désolée, ce n'est pas une réponse. Par contre, je ne comprends pas. Suis-je censée expliquer la première phrase du poème? Si oui, lequel, je ne le connais pas. Dois-je inventer un poème sur le thème d'un collier?]

(non, il y as une texte, je vous met la page 1 tout de suite ! )

UP ? les autre aussi peuvent répondre !

"Monsieur le professeur la poésie est-elle à apprendre" ?
Cette phrase fusa de ma bouche sans que je le voulu vraiment, trop tard le prof avait entendu...

[ Desoler mais je voudrais savoir si je devais i participer?]

[oui, bien sur ! Vue que tu est 6eme B !]

Désoler du DP, mais vue que Zeven ne répond pas c'est a Ichi de lire !

Je ne comprend plus rien. À peine une minute auparavant, je me trouvais dans le séjour du manoir familial et puis plus rien. Les souvenirs étaient flous comme si mon esprit refusait de s'en rappeler. Je me trouvais désormais dans un endroit ouvert et très éclairés contrairement à ce que je m'attendais. Tout semblait briller d'un éclat fluorescent, mais à la fois limpide. Même le sol, cet maigre allée semblait flotté sur une étendue d'eau vaporeuse. Je n'avais jamais vu ça. Oui c'est vrai, je suis quand même jeune, je n'ai que 13 ans, mais jamais je n'ai entendu ne serais-ce qu'un adulte parler de cet endroit étrange. Je me pencha afin de vérifier ma théorie pour ce trottoir phosphorescent. Je tendis mon bras et plongeait mes doigts dans les eaux glacées. C'est alors que je remarquait que mes membres se confondait presque parfaitement dans cet abyme de lumière. Je me redressa aussitôt. Qu'est-ce qui m'arrivait? Je fixais donc mes mains, comme un idiot ou un nouveau-né qui venait de découvrir ces petite pattes quand soudain, une voix retentit derrière moi.

<< - Veuillez me suivre, me demanda la femme qui se tenait là devant moi. J'ai été assignée pour venir vous chercher et vous conduire jusqu'à notre établissement. >>

J'étais surpris, plus que je ne pouvait paraître apeuré, mais j'acceptai de la suivre. Peut-être m'expliquerait-elle ce qui m'arrivait. Où je me trouvais? Ou elle me conduirais chez quelqu'un qui le saurais. Nous marchâmes longtemps ou du moins c'est ce qu'il me parut. Nul ne parlais. Ni moi, ni la dame. Puis au bout d'une bonne heure, enfin je crois, une sorte de cathédrale un peu étrange de style romantique ou gothique apparut comme par enchantement. Je crus de nouveau rêvé, mais la femme incita pour que j'avance. Elle passa un bras sur mes épaules en me regardant d'un air à la fois attendrissant et compatissant. Un homme nous attendais près du grand escalier, à notre arrivée, il s'avança pour nous saluer.

<< - Bienvenue à l'Académie Fantomatique de Stornhold jeune homme! Je suis Humphrey Cavill, surveillant de ces lieux et voici ma femme Victoria Cavill, elle aussi surveillante de cette école. >>

Je ne put m'empêcher de regarder tour à tour les deux surveillants. J'avais cru rêvé au début, mais en fait, je ne rêvait pas. Ce couple de surveillant était belle et bien, des spectres ou plus communément appelés des fantômes. J'aspirais à un rêve et peut-être même une hallucination dû à la maladie... oh non! C'est alors que je compris. Absolument tout me revint en mémoire. Cette terrible maladie dont souffrait ma petite sœur depuis sa naissance avait fini par me faucher telle un brin d'herbe sèche. Je ne rêvais donc pas. C'est à ça que ressemblait la vie dans l'autre monde. Aucune chaleur, aucun vent, que le silence à l'infinie et la voix des autres fantômes en écho.

M. Cavill glissa quelque chose à sa femme, puis celle-ci me remit un bout de papier avec un numéro ou plutôt un nom. Lorsque je lis les caractères écrit sur le billet, ceux-ci se transformèrent en chiffres. Mme Cavill m'ouvrit le portail et m'indiqua l'entrée de l'établissement.

<< - Suis ces indications et tu trouveras ta chambre dans le dortoir. Ton horaire de la journée t'attend sur le bureau, dépêche-toi, tu es déjà en retard. >>

En retard?! Si cela était vraiment une école, je ne devais pas arriver en retard la première journée. Cela risquait de me faire remarquer! Je me dépêchais donc à entrer en vitesse. J’eus du mal à trouver ma chambre, enfin les dortoirs. Pour ce qui est de la chambre, je n'ai pas vraiment eu de mal. Comme prévu je trouvais mes affaires. Un peu d'argent, quelques livres, mais aucun carnet pour prendre des notes et aucun sac pour porté ces bouquins énormes. Je regarda mon horaire et vu que effectivement j'étais en retard d'une bonne quinzaine de minute. Je commençait en français. Je pris donc mes manuels à bras le corps et partit en quête de ma classe. Je descendit à l'étage des cours en suivant le plan à la lettre, puis je trouvais la classe au fond du couloir. C'est alors que j'attendis une voix féminine faire la lecture à voix haute.

Elle disait; << - Mais de collier on n'as pas trouver. >>

Je pris alors une grande inspiration et mon courage à deux mains, j'ouvris la porte de la classe tout doucement. Mais tout les regards se posèrent sur moi, même celui du professeur. Je baissa les yeux, fixant le sol de honte. Qu'allais-je devenir? Qu'est-ce que ce monde étrange? Et si je suis vraiment mort, pourquoi dois-je toujours allé à l'école?

«Monsieur le professeur la poésie est-elle à apprendre ?»
Je trouve cette élèves très impolie ! Osée parler sans demander la permission ! Quel honte ! Néanmoins, comme la question étais pertinente, je répondit d'un ton sec et tranchant :
«Non, elle n'est pas a apprendre pour l'instant. Se que vous devriez apprendre, en revanche, c'est a lever le doigt !»
Je me tourna vers Ichi. Elle baisas la tête sur son livre et lue :
«Le collier. Vers le sud tu nous a dit, vers le sud on est allé. Mais de collier on n'as pas trouver...»
Elle n'eut pas le temps de réciter en entier car, a se moment précis, arrivas un garçon. Génial... Il a fallut que je tombe sur un classe d'endormie. Ce garçon était très en retard ! Le cours avez commencer depuis 15  minute ! Je me tourna vers lui et tout la classe le regarder aussi. Généralement, je n'ai pas d'à priori sur les gens. Sauf quand il son en retard. Sa me fait plutôt pencher pour un mauvaise élève. Ou quand il font n'importe quoi. La c'est sur et certain, il auront un étiquette de mauvais élèves !
« Tu est en retard ! Que faisait-tu ?! Et d'ailleurs, je ne t'ai pas vue hier ! Et...»
Le téléphone sonna, et m'interrompe. Je soupira , exaspérer. J'allais décrocher et j'entendis un voix familière :
« Salut Septi ! C'est Victoria ! Comment sa vas ? Moi,sa vas ! Bon  c'était pour  prévenir que si t'as un p'tit en retard, c'est normal , y vient de mourir ! Je l'ai trouver dans le parc. Donc , s'il te plait, évite les observ' ! Voilà ! C'est tout !
-Ok ! Mais d'abord, ne m'appelle pas Septi ! J'ai horreur de ce diminutif ! Je retourne a mon cours, salut !»
Sur se, je raccrocha. Puis je me tourna vers le petit.
« Tu as eu de la chance ! Mais n'espère pas  t'en tirer toujours comme sa ! Bon, met toi a côté de... Cintria... Heu, Quentia, enfin bref, celle qui n'as pas de voisin !»

À peine que je venais de mourir, je m'enfonçais dans les Abysses. je croyais car c'était un chemin qui était d'un blanc si neige que je me demandais si je rêvais ou j’étais réellement morte. je m'avançais prudemment pour savoir ou j'étais quand une lueur formant un portail, un mure d'eau se forme devant moi. je m'avançais donc pour voir se qui se passe en passant ma main et découvris que c'était un autre dimension on dirait, la dimension des mort, des fantôme, des esprits quoi. Étant curieuse, j’entrais dans se mure liquidant au regard et vit un monde assez sombre et vieillit. C'était bizarre. j'avançais vers un porte donc le bâtiment, plutôt un manoir le régna. Un porte s'ouvre devant moi et une femme vêtue de vêtements de d’anciennes époques ouvrit la porte et m’accueillit. Je m'inclinais devant elle pour la saluer et m'accueillit à ma chambre. une chambre? c'était quoi cette endroit? Elle m'expliquait donc que quand un jeune mourait, Comme ses étude aux monde des vivant n'était pas terminé, il continu ses étude dans ce monde. Je comprit alors des tas de truc avec elle. Elle me laissa donc seule à entrer dans ma chambre et me disait que mon horaire était sur mon bureau. d'un air à me questionner je me demandais pourquoi je dois aller en cours et je venais juste de mourir. j'entre dans ma chambre d'un rose étinselent qui me plaisait guerre d'ayeur, et regarde mon papier. je regardais l'heur et regardais, une autre fois mes note d'aginda.

-Cour de Français.... COURS DE FRANÇAIS! Mais je suis vraiment en retard! Je vais vraiment me faire passer le savons. Merci ma vie en?

Je courus à tout vitesse pour essayer de trouver ou était la classe. Je regardait un pant qui montrait ou il étaient les cours et courut vers le cours. arrivé, je fait un dérapage et glissa sur le sol. je me relevais soudainement et me mit devant las porte d'entrer. J'ouvre ou je N'ouvre pas? Si j'ouvre, Un professeur très en colère, si je n'ouvre pas, même chose et en plus ça sera pire. De mon air timide, je cogna à la porte et asseye de me demander quoi dire. déjà dans mon ancienne vie, j’avais défoncer des porte de mes classe quand j'arrivais en retard mais comme c'était des vielle porte, je me devais d'être respectueuse. Je ne voulait qu'un seule chose, en finir avec cette humiliation. j'avais tellement la figure rouge de gêne et de peur que je me demandais se qui allait arriver.

Ah ce prof ! voilà qu’après m'avoir fait la remarque  "Ce que vous devriez apprendre, en revanche, c'est à lever le doigt !» voilà qu'il écorchait mon nom "Bon, mets toi à côté de... Cintria... Heu, Quentia, enfin bref, celle qui n'a pas de voisin !» incroyable !  je crois que cette année sera dur avec ce prof alors que j'adorais le Français... Le nouveau vint s’installer à côté de moi. Il avait l'air sympa, l'avenir nous le dira... je me demandais comment il s’appelait ? je lui demanderais à l'inter cours. Je sursautais car quelqu'un venait de cogner encore à la porte de la classe...  Je me demandais qui cela pouvait bien  être ?

Je n'en attendais pas moins de la part du professeur et des autres élèves. Ils me dévisageaient tous comme si j'étais toujours vivant. Comme si il pouvait toujours me discerner aussi nettement qu'avant, mais je savais que ce n'était plus le cas. L'instituteur se tourna vers moi avec un air agacé et mécontent. Je ne pouvais pas savoir distinctement à quoi il pensait, mais j'avais une petite idée.

<< Tu es en retard!, gronda soudain sa voix. Que faisais-tu?! D'ailleurs je ne t'ai pas vu hier. >>

Et voilà! Exactement ce que je pensais. Il me réprimandait pour mon retard. Et bien c'est vrai que le cours était commencé depuis 15 minutes, mais je venais à peine d'arriver et j'étais déjà dans la galère. J'allais lui répondre que je m'étais perdu en chemin quand le téléphone sonna. Il se dirigea d'un pas pressé vers son bureau et répondit. Je trouvais cela étrange de voir ce genre d'appareil ici, mais je me dis que si c'était l'endroit du repos éternelle, il fallait bien avoir un moyen de communication. Ce monde n'était pas si différent de celui d'en haut après tout.

<< - Tu as eu de la chance!, reprit le moniteur en raccrochant le combiné. N'espère pas t'en tirer toujours comme ça! Bon mets-toi à côté de... Cintria... euh,Quentria, enfin bref, celle qui n'as pas de voisin. >>

J'étais soulager, mais même si il me disait que tout allait bien, je sentais qu'il n'appréciait pas énormément les retards, alors je me dis que je devait à tout pris épargné d'être de nouveau en retard. Je le remercia d'un faible hochement de tête avant de me diriger vers le pupitre libre à côté d'une fille. Oh quel chance, il était justement droit devant le bureau du professeur. Voulait-il me garder à l’œil à cause de mon retard? Il a pourtant tord. Je ne suis pas très dérangeant. Je suis même très discret. Si je pourrais, je disparaîtrais. Je m'assieds donc sans accorder un seul regard aux autres élèves. Je n'étais pas encore prêt à premier contact visuel avec tout ces fantômes. J'avais encore du mal à avaler ma mort, croyant toujours à un mauvais rêve ou une plaisanterie de mauvais goût. Mais je sentais tout ces regards toujours posé sur moi, plus particulièrement, celui de ma camarade et voisine. Elle semblait se poser toute sorte de question à mon sujet. C'est vrai que je ne m'étais pas présenté, mais je ne la connaissait pas non plus et le professeur l'avait nommé de plusieurs façons que je peinais à croire qu'il savait réellement son prénom. Cette pensée me fit rire intérieurement quand soudain on frappa à la porte...

Le dénommé Deki heu... Dekri, Deci, enfin bref, le nouvelle élève s'installa à sa place. J'allai pouvoir vraiment commencer ! Quand... On toqua a la porte... Non de non !!! Mais ils ne savent pas arriver a l'heure !!! J'ouvris la porte et vit un jeune fille. Je me mit a lui hurler dessus sans même attendre qu'elle justifia son retard  :
« NON MAIS VOUS NE SAVAIENT PAS ARRIVER A L'HEURE ?!!!!! C'EST TROP VOUS DEMANDER ?! ON EST DANS UN ACADÉMIE ICI ! PAS DANS UN MOULIN ! ALORS MAINTENANT, TU VAS A TA PLACE ET TU DIT RIEN !»
Je ne pris même pas la peine de répondre au téléphone. Je me tourna vers mes élève, rouge de rage (se qui donner noir, vu que les fantôme sont en gris,noir et blanc...) et leur dit d'une voix en colère mais sans crier :
«Maintenant, vous copier cette poésie EN SILENCE et après vous en inventez un sur un autre objet ! Si vous n'avez pas finit de faire votre poésie inventer ou de copier, se seras en devoir en plus d'apprendre la poésie du collier ! Donc je ne veux pas vous entendre !»
Je me tourna et alla m'assoir a mon bureau et regardas ma montre. 8 heure 45... On avez presque perdu tout le cours... Il ne leur rester plus que 15 minute. Je me levas silencieusement et écrive : Il est 8 heure 45. Plus que 15 minute.

Je regardais le professeur un peu contrailé. Il n'avais pas l'air d'être la coqueluche des élèves. je le regardait d'un air à vouloir le défié car, qu'est-ce qui lui prend pour Grondé des nouveau mort alors que leur vie c'étaient achevé ici. Je ne disait plus rien et alla à la place de là qui est derrière le garçon et la fille. je prit enfin place au font, à droite et regardais le livre donner à la page indiqué. Mais c'est du n'importe quoi. on dirait un trucs de maternelle. Je mandatait du talant à un grand écrivain. J'écrivais donc le message sans faire d'histoire sans aucun problème et en profitait pour écrire ma propre poésie, sur une autre feuilles.

J'étais plongé dans mes pensée lorsque la cloche sonna. Je me releva, rangea ma chaise et observa la classe. Il était tous en train d'écrire sagement. Tant mieux ! Je sais que je m'énerve vite, mais il faut savoir ce faire respecter et craindre ! Je leur dit, en sortant de mes pensée :
" Le cours est terminer ! N'oublier pas d’amener votre poésie et d'apprendre "le collier" pour Jupitri ! Après, vous avez une heure de trou, donc avancez-vous dans vos devoirs, allez au parc ou travaillez ! A plus tard !"
J'avais parlé d'une voix sec, comme a mon habitude. Je regardais les élèves ranger leurs affaires et puis, je retourna a mon bureau pour sortir mes fiches du cours suivant. Ha... J'avais les 3eme F, les plus insupportable... La journée commence mal avec deux retard et les 3emeF...